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    C'est en ecoutant le silence

    Lorsque je suis ici à t'attendre

    Par le défaut de ta présence

    Qu'il me manque des mots tendres.

    Ton doux langage m'est précieux

    J'ai tant besoin de tes baisers

    De tes mains dans mes cheveux

    De ton amour si merveilleux.

    Tout est si bon quand tu m'enlaces

    Tout est si beau comme dans un songe

    Tout est si beau et tout s'éfface

    Quand tes yeux dans mon regard plonge.

     

     


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  • Penser et réfléchir vont de paire
    Réfléchir et penser se complètent
    La pensée prend tout un air
    Lorsque la réflexion s'y prête.

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  • Pour toi au jardin de mon coeur

    Je veux semer un tapis de bonheur

    Mettre des graines partout

    Pour que dans sa danse le vent fou

    Parsème les semences d'amour

    Et fasse germer des milliers de jours

    Que je cueillerai un à un tendrement

    Pour te faire un bouquet de printemps.

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    De l' adolescence                                         à                        La Maturité




    Je t'offre ces vers pour qu'en mon nom ils te disent
    Combien ton coeur adolescent fut objet de convoitise.
    A dix sept ans, en secret le mien t'a aimé,
    A vingt ans il t'a offert ses plus belles années,
    Pendant trente ans un vide s'est installé
    Et depuis plus de 10 ans il est enfin comblé.


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  • Avec toi j'écris "je t'Aime" avec une majuscule
    Ainsi que le "A" de "Amour" se laisse écrire comme un devoir

    Mon "Je" s'uni à "Tu" sans mettre de virgule
    Pour faire un "Nous" pluriel et me donner espoir.

    Je me veux au singulier lorsque je m'abandonne
    Je hais le silence lorsque tu n'es pas là
    Je veux conjuguer à la première personne
    Pour nous aimer au présent Toi et Moi.

    Oublions les "ils" et les "elles" qui s'immiscent souvent
    Semant la zizanie au coeur de notre grammaire
    Dis-moi "Nous" oublies "Eux" je ferai pareillement
    Je t'aime comme tu m'aimes le reste m'indiffère.

    Oublions l'imparfait et même le passé simple
    Retenons le présent pour qu'il soit éternel
    Toi et Moi à jamais que la vie serait simple
    Sans avoir à conjuguer le verbe "être" au conditionnel.

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  • Losque viennent les ténèbres,

    Lorsque je sombre dans la nuit,

    Lorsque le rêve m'envahit,

    C'est toi qui me protège.

     

    Je me laisse envelopper de brume

    J'entre dans un monde étrange,

    Celui de l'irréel des soirs de lune

    Où l'on ne perçoit que des fragrances.

     

    Le songe est si subtil

    Qu'il oblige tous mes sens

    A dégager des parfums tactiles

    Pour réveiller en toi ton silence.

     

    Mes caresses se font plus pressantes

    Alors dans ton demi-sommeil

    Tu étires tes chairs frissonnantes

    Pour mettre mon émoi en éveil.

     

    Dans un  élan magique

    Ton corps se serre contre le mien

    Pour qu'en cet instant magique

    Nous ne formions plus qu'un.



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    Pourquoi voit-on sur un visage qu'on chérit

    Les larmes tracer leurs sillons sans un bruit

    La douleur cruelle à supporter

    Ne pourrait-elle pas être partagée.

     

    Il suffirait que dans la souffrance de l'un

    Chacun puisse prendre un lot certain

    Du supplice de l'autre pour que s'apaise enfin

    Le mal insupportable au pouvoir malsain.

     

     


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    Notre amour est habillé de bleu
    Couleur azur, couleur du ciel
    Telle la pureté est sans pareille
    Le blanc nous sied à tous les deux.

    Notre amour est habillé de moire
    Couleur printemps, tissu soyeux
    Avec du vert et puis du noir
    C'est le reflet de nos deux yeux.

    Notre amour est arc en ciel
    Eblouissant de mille feux
    Couleur de rose, couleur pastel
    Ombre dorée, amour heureux.

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  • J’accuse le vent d’ignobles destructions
    J’accuse la pluie  de perfides inondations
    J’accuse  ensemble ces deux éléments
    D’acculer  la population impunément.

    J’accuse les hommes de Pouvoir
    Ceux bien calés du haut de leur perchoir
    De regarder  les magnats  de  la décision
    Ruiner le reste de la population.

    J’accuse l’insupportable intolérance
    La pitoyable intransigeance
    Au nom de qui, au nom de quoi
    Quiconque peut imposer sa loi.

    J’accuse ces décideurs infâmes
    Prêts à tout, même l’irréparable
    Tous dépourvus d’humanité
    Qui par la guerre font tuer.

    J’accuse tous ceux qui dans leurs coeurs
    N’ont que sécheresse et rancoeur
    Tous ceux  dont le vocabulaire acéré
    Ont banni le si joli mot : LIBERTE.


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  • Un jour la grippe fit son apparition,

    Sournoisement, et s'installa dans notre lit

    M'empêchant de te donner toute satisfaction,

    S'accrochant à moi pour m'enlever toute envie.

     

    Heureusement je n'en voulu pas pour copine,

    Pendant trois jours je lui fis grise mine

    Entre nous deux, pas question de s'interposer,

    Tu  aurais été capable de t'en accommoder !

     

    Je l'ai mise à la porte pour m'en débarrasser

    Et n'essaie surtout pas de la rattraper.


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