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Par lenida1 le 9 Juin 2009 à 17:48
C'est en ecoutant le silence
Lorsque je suis ici à t'attendre
Par le défaut de ta présence
Qu'il me manque des mots tendres.
Ton doux langage m'est précieux
J'ai tant besoin de tes baisers
De tes mains dans mes cheveux
De ton amour si merveilleux.
Tout est si bon quand tu m'enlaces
Tout est si beau comme dans un songe
Tout est si beau et tout s'éfface
Quand tes yeux dans mon regard plonge.
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Par lenida1 le 16 Avril 2009 à 14:57
Penser et réfléchir vont de paire
Réfléchir et penser se complètent
La pensée prend tout un air
Lorsque la réflexion s'y prête.
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Par lenida1 le 2 Avril 2009 à 15:54
Pour toi au jardin de mon coeur
Je veux semer un tapis de bonheur
Mettre des graines partout
Pour que dans sa danse le vent fou
Parsème les semences d'amour
Et fasse germer des milliers de jours
Que je cueillerai un à un tendrement
Pour te faire un bouquet de printemps.
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Par lenida1 le 26 Mars 2009 à 14:05
De l' adolescence à La Maturité
Je t'offre ces vers pour qu'en mon nom ils te disent
Combien ton coeur adolescent fut objet de convoitise.
A dix sept ans, en secret le mien t'a aimé,
A vingt ans il t'a offert ses plus belles années,
Pendant trente ans un vide s'est installé
Et depuis plus de 10 ans il est enfin comblé.
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Par lenida1 le 17 Mars 2009 à 14:35
Avec toi j'écris "je t'Aime" avec une majuscule
Ainsi que le "A" de "Amour" se laisse écrire comme un devoir
Mon "Je" s'uni à "Tu" sans mettre de virgule
Pour faire un "Nous" pluriel et me donner espoir.
Je me veux au singulier lorsque je m'abandonne
Je hais le silence lorsque tu n'es pas là
Je veux conjuguer à la première personne
Pour nous aimer au présent Toi et Moi.
Oublions les "ils" et les "elles" qui s'immiscent souvent
Semant la zizanie au coeur de notre grammaire
Dis-moi "Nous" oublies "Eux" je ferai pareillement
Je t'aime comme tu m'aimes le reste m'indiffère.
Oublions l'imparfait et même le passé simple
Retenons le présent pour qu'il soit éternel
Toi et Moi à jamais que la vie serait simple
Sans avoir à conjuguer le verbe "être" au conditionnel.
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Par lenida1 le 23 Février 2009 à 15:29
Losque viennent les ténèbres,
Lorsque je sombre dans la nuit,
Lorsque le rêve m'envahit,
C'est toi qui me protège.
Je me laisse envelopper de brume
J'entre dans un monde étrange,
Celui de l'irréel des soirs de lune
Où l'on ne perçoit que des fragrances.
Le songe est si subtil
Qu'il oblige tous mes sens
A dégager des parfums tactiles
Pour réveiller en toi ton silence.
Mes caresses se font plus pressantes
Alors dans ton demi-sommeil
Tu étires tes chairs frissonnantes
Pour mettre mon émoi en éveil.
Dans un élan magique
Ton corps se serre contre le mien
Pour qu'en cet instant magique
Nous ne formions plus qu'un.
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Par lenida1 le 17 Février 2009 à 11:16
Pourquoi voit-on sur un visage qu'on chérit
Les larmes tracer leurs sillons sans un bruit
La douleur cruelle à supporter
Ne pourrait-elle pas être partagée.
Il suffirait que dans la souffrance de l'un
Chacun puisse prendre un lot certain
Du supplice de l'autre pour que s'apaise enfin
Le mal insupportable au pouvoir malsain.
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Par lenida1 le 16 Février 2009 à 15:24Notre amour est habillé de bleuCouleur azur, couleur du cielTelle la pureté est sans pareilleLe blanc nous sied à tous les deux.Notre amour est habillé de moireCouleur printemps, tissu soyeuxAvec du vert et puis du noirC'est le reflet de nos deux yeux.Notre amour est arc en cielEblouissant de mille feuxCouleur de rose, couleur pastelOmbre dorée, amour heureux.
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Par lenida1 le 12 Février 2009 à 14:51
J’accuse le vent d’ignobles destructions
J’accuse la pluie de perfides inondations
J’accuse ensemble ces deux éléments
D’acculer la population impunément.
J’accuse les hommes de Pouvoir
Ceux bien calés du haut de leur perchoir
De regarder les magnats de la décision
Ruiner le reste de la population.
J’accuse l’insupportable intolérance
La pitoyable intransigeance
Au nom de qui, au nom de quoi
Quiconque peut imposer sa loi.
J’accuse ces décideurs infâmes
Prêts à tout, même l’irréparable
Tous dépourvus d’humanité
Qui par la guerre font tuer.
J’accuse tous ceux qui dans leurs coeurs
N’ont que sécheresse et rancoeur
Tous ceux dont le vocabulaire acéré
Ont banni le si joli mot : LIBERTE.
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Par lenida1 le 6 Février 2009 à 17:12
Un jour la grippe fit son apparition,
Sournoisement, et s'installa dans notre lit
M'empêchant de te donner toute satisfaction,
S'accrochant à moi pour m'enlever toute envie.
Heureusement je n'en voulu pas pour copine,
Pendant trois jours je lui fis grise mine
Entre nous deux, pas question de s'interposer,
Tu aurais été capable de t'en accommoder !
Je l'ai mise à la porte pour m'en débarrasser
Et n'essaie surtout pas de la rattraper.
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